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En parlant d’anus de porc (voir Paul McCarthy et la Chasse aux Réacs), j’ai découvert l’autre jour une mini-série anglaise avec intérêt : Black Mirror. N’ayez crainte, vous ne risquez pas de retomber dans la dépendance puisque les deux saisons diffusées se composent de seulement trois épisodes. Ceux-ci sont conçus comme des moyens métrages indépendants qui traitent des dérives socio-technologiques de notre temps, avec, à chaque fois, un œil différent derrière la caméra. Tous les mini-films se trouvent à mi-chemin entre science-fiction et télé-réalité tant les situations dépeintes sont immédiatement crédibles et semblent présentées à travers le miroir prudent que les transhumanistes cherchent à briser. C’est Aldous Huxley qui rencontre Nabilla.
Ne me faites pas dire que j’ai parlé de fion en pensant à la reine éphémère du petit écran ! Non mais allô ! J’ai trop de respect pour le PAF. Enfant de la télé, j’ai regardé avec délice La Ferme des Animaux-Célébrités et les ébats de Jambon-Edouard et Loana ! J’ai dit fion comme on dit mamelon car tout est bon dans le cochon !
A vrai dire, si j’arrête l’image sur le fondement porcin, c’est uniquement parce que le premier épisode de Black Mirror nous montre le chef du gouvernement britannique contraint de coucher avec une truie en direct pour sauver la Princesse de Galles. Je n’en dis pas plus et vous laisse découvrir si c’est du lard ou du cochon…
(Je recommande aussi le 3ème épisode dont Robert Downey Jr a déjà acheté les droits pour une adaptation au cinéma)