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Cinquième jour de notre aventure au Festival d’Avignon OFF 2016 : « If I can fly »
9h30 : Oups, le réveil n’a pas sonné. Dieu merci, on ne dort que d’un œil dans notre vivarium.
10h : Apparemment, le président de la copro « est un con », mais je risque quelques affiches sur les murs de la résidence.
10h15 : Les quolibets fusent à mon encontre : « Cetelem ! », « Géant Vert ! », « T’as grossi ! »… J’en entends des vertes et des pas mûres… D’autres expriment leur compassion avec un modeste « Vous n’avez pas trop chaud ? »… C’est quand même plus sympa que le mépris affiché par certains spectateurs du IN qui vous disent « non merci » avec un air d’« on a déjà donné »…
12h : Il n’y a pas que des masochistes qui paradent (cf. l’épisode précédent «Tracteur masochiste») :
13h30 : Plus de piles, je tombe la sudisette et m’octroie un sandwich triangle (au thon, mon préféré, eh eh eh !) sur un banc.
17h : Interview au Pie Café pour Radio Pays d’Hérault.
A force de discuter avec des collègues troubadours, mon tas de flyers ne diminue pas…
20h : Deuxième représentation. La salle est pleine à craquer, il y a des enfants, des jeunes, des moins jeunes… ! On est survoltés !
23h : Je rejoins des copains qui sont là pour le week-end.
3h : La Place des Corps Saints porte très mal son nom… Difficile de dire non à un copain qui vous propose un dernier verre…
Episode suivant : « Booba VS Juppé »