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À vos plumes ! Le concours de poésie qui réenchante les transports est de retour !
Jusqu’au 15 avril 2018, vous pouvez envoyer un court poème (de 4 ou 14 lignes) sur https://grandprixpoesie.ratp.fr, en espérant que votre oeuvre sera sélectionnée par le jury, qui est présidé cette année par le chanteur et auteur Raphaël.
Cent opuscules seront d’abord retenus par le comité de lecture, parmi lesquels dix coups de coeur seront annoncés lors de la cérémonie de remise des prix à la Maison de la RATP fin juin. Ces dix lauréats verront leurs haïkus affichés dans les wagons et les couloirs du métro ! (+ un week-end à Stockholm pour le Premier Prix, mais vu les probabilités, je vous conseille de prendre des billets de votre côté !)
Les finalistes qui seront arrivés tout près du podium auront tout de même la satisfaction de voir leurs rimes publiées dans un petit recueil. J’ai eu cette chance l’année dernière (je ne vous raconte pas la fierté de ma grand-mère !), visez un peu le résultat :
Quant au tote bag de goodies (comme on dit dans la langue de Malherbe), il ne m’a pas vraiment consolé… (« Être Chateaubriand ou rien » !) Mais j’ai pu noyer ma déception dans le champagne gratuit, et prendre un selfie avec Joey Starr ! J’ai bien cru qu’il allait me mordre l’oreille, cependant ma frayeur ne fut rien comparée à celle d’Augustin Trapenard quand il eut le malheur de s’adresser au rappeur en l’appelant « Bruno » (ndlr : c’est le prénom de Doc Gynéco ; Joey Starr se prénomme Didier)…
Bref, si vous attendiez une occasion pour partager vos vers avec la France entière, ou du moins, un petit bout du Tout-Paris, ne ratez pas la date butoir ! Vous pouvez même participer en famille puisque le Grand Prix de Poésie RATP est ouvert aux enfants (- de 12 ans) et aux ados (12-18 ans). Vous pourrez d’ailleurs utiliser vos enfants comme prête-nom afin de vous donner toutes les chances de gagner.
À toutes fins utiles, je vous rappelle que le plagiat est puni par la loi, ce n’est donc pas la peine de copier-coller « Le Corbeau et le Renard » ; sauf si vous moulinez le texte au moins trois fois dans Google Traduction (ex : français > chinois > arabe > galicien > français) :